Han'men'

Bon alors moi aussi je vais vous mettre mon histoire!
C'eest un roman à moitié d'amour et de l'autre de guerre.
J'espère que vous aimerez! D'abord un rapide résumé! ;)
Han'men vient du japonais ( Sheena, pourrait m'aider pour un truc svp?) et veut dire l'autre moitié / l'autre côté / d'un autre côté / l'inverse / par contre / au contraire.
Vous comprendrez ce que ça veut dire plus tard.^^

Nalie mon héroïne a dix-sept ans.
Très gentille, elle n'a jamais eu de petit copain et avec sa meilleur amie, vie un peu à "l'intérieur » de ses livres. Brillante en tout sauf en latin, elle est appréciez de tous pour son calme et ses réflexions. Elle est du genre à arranger tout les conflits.
Un nouvel élève arrive dans son lycée; Bien sur elle a déjà été amoureuse mais n'a jamais ressenti ça pour personne. Toutes les filles sont folles de lui et elle se dit qu'elle n'a aucune chance mais, l'inconcevable se produisit, il l'a remarqua. Elle se mit toutes les filles ainsi que les garçons à dos ( ils étaient amoureux d'elles mais ne se doutait de rien, ha la petite naïve...^^) Mais rien ne comptait à part sa meilleure amie Colie et Adrien.
Comme toutes les histoires classiques de vampires, son petit copain l'a tué et l'a vide de son sang. Mais, au lieu de mourir car contrairement au idées reçues, les vampire peuvent transformer quelqu'un en l’un des leurs mais aussi tuer tout simplement, elle se transforme et fantôme. Se phénomène est lié au destin fabuleux qui l'attend.
Elle n'aspire qu'à une chose, se venger d'Adrien, et l’empêcher de recommencer une nouvelle fois son crime. Mais, la prophétie l'a rattrape, elle va se retrouver plongée dans un univers dont elle ignore tout et découvrir la cruautés des vampires... Entre amitié, trahison, prophétie, vengeance, secrets et torture, Nalie va découvrir que tout son petit monde de livre n'est pas si irréel qu'il n'en a l'air...

Bon, c'est court mais je vous mettrai un message ou je présenterai les personnages. ;) je sais, ils ont des prénoms bizarres. C'est un peu des diminutifs: Nalie vient de Nathalie, Colie vient de Coline, Monie vient de Maureen...

A vous de me dire se que vous en pensez!

Ca a du potentiel, mais le résumé est confus.
Attention au fautes d'orthographes et de grammaire.

Pardon, je suis un peu dans les vapes en ce moment, je le referai demain quand j'aurai l'esprit plus réveillée.

C'est pas grave, ma ptite Sofie !
Déjà, y a de l'idée, et c'est l'essentiel.
Maintenant, c'est vrai que certaines idées sont mal exprimées, ou mal dites. Je crois que tu as oublié pas mal de mots dans certaines phrases...
Bon, ensuite, tu n'as jamais précisé auparavant qu'un quelconque vampire apparaitrait, ou même que l'histoire serait basé sur des suceurs de sang. Donc, là, c'est un peu brouillon pour le lecteur.
Ensuite, quelle prophétie ? Tu pourrais commencer ton résumé par quelque chose dans le genre " Il a longtemps, XXXX prophétie à été faite ici à XXXX et depuis...etc, etc".
Pour finir, je dirais que le fait que tous les garçons soient amoureux d'elle et toute les filles amoureuses de lui, ça fait too much. Quelques garçons, pas mal de filles, c'est suffisant, si tu veux mon avis.
Après, je ne suis pas une spécialiste. C'est juste pour te conseiller.
Mais c'est vrai que, comme l'a si bien dit Julie, ça a du potentiel, et j'ai hâte de voir ce que ça va donner ^^

Merci.^^
j'éi écris, houlala presque une dizaines de chapitres maintenant. Mon roman a bien évolué et j'ai un peu refait mon résumé.^^

Oui, je vois, le résumé est mieux comme cela.
Tu n'a plus qu'a poster le premier chapitre !

<bon voilà un petit éxtrait comme promis. Donnez votre avis, ça va m'aider! ;)

J'essaie de vous situer, il s'agit de l'enfance de Nalie vite revus mais surtout le jour ou sa vie a basculé et le rencontre de ses parents. . Ca situe sur le quatrième chapitre mais il n'est pas entier là.

Je vous en prie, lisez !

Excusez moi pour les fautes d'orhographes, celui là n'a pas été relus par mon correctrice. :-)

« Ils étaient bien, rien qu'eux trois et personne d'autre. Ils étaient partis en vacance suite à des menaces de mort. Ils avaient le choix: donner leur fille, le bébé qu'ils avaient vu grandir, qu'ils aimaient voir sourire, dont lequel ils s'occupaient ou mourir. Devant ce choix cruel ils n'avaient eu qu'une solution: fuir. Ils avaient vite faits leur valise et étaient partis avec un petit bout de trois mois. Peut-être était-ce abusé de partir pour une lettre qui est certainement une mauvaise plaisanterie... ET BIEN NON! Le père de l'enfant menacé avait eu une sœur. Un jour,alors que sa famille et lui dinaient, bien avant son mariage,ses parents reçurent un parchemin étrange. Ils devaient payer une somme d'argent colossale sinon, un membre de la famille disparaitrait! Ces parents n'y croyaient pas. Ils n'allaient tout de même pas payer pour une blague!? Et, sans plus se soucier des menaces, ils brulèrent la lettre. Malheureusement, un mois plus tard, leur fille en paya le prix... Elle fut sauvagement assassinée.
Donc, depuis ce jour, les plaisanteries, c'est fini! Il était hors de question de perdre à nouveau un être cher. Après tout, ils avaient attendu douze ans avant d'avoir un enfant. Après neuf mois de joie, d'attente, de peur et de stress était née une ravissante fille nommée Nathalie. Elle avait déjà beaucoup de cheveux blonds et se distinguait des autres petites fille de par ses yeux argentés, bien plus que ravissants. Elle était très mignonne. Les parents du petit ange ne cessaient de se demander pourquoi ses iris n'avaient pas une couleur normale. Ils avaient vu beaucoup de spécialiste mais aucun n'avaient pu expliquer ce phénomène.
Ils avaient donc déménagé, poussés par la peur. Ils étaient partis en Italie dans un trous perdu, là où personne ne viendrait prendre leur joyaux! Ils n'étaient pas allés voir la police, le père étant lui même un policier. Ce fut à la cousine de la mère de Nathalie de garder la maison.
Il était sept heures, le temps de regarder la télévision. Chacun des membres de la petite famille se reposait sur le canapé. La femme s'était détendue, l'enfant dans les bras, mais l'homme était encore sur ces gardes. Quand on a un métier comme policier et qu'on reçoit une menace de mort, il y a de quoi devenir paranoïaque!
Tout à coup, on frappa à la porte de l'appartement. Les parents, frissonnant de terreur, se regardèrent, inquiets. Depuis qu'ils étaient en Italie, personne ne leur avait offert de visite, surtout après sept heures du soir.
Le père alla ouvrir la porte, sur ses gardes, la main sur son arme de service. Il fit pivoter la porte sur quelques centimètres et, dans l’embrasure, aperçut un grand homme, vêtu d'une cape noir. Il était sublime, d'une beauté irréelle! Sa peau était plus pâle qu'un lac un soir de lune et sa stature laissait penser qu'il était très musclé. On ne voyait pas son visage, caché par une grande capuche.
Le père, un peu interloqué prit la parole.
- Bonjour, qui êtes-vous? Et que puis-je faire pour vous? demanda-t-il d'une petite voix.
- Bonjour répondit-l'étranger de sa voix suave. Je me nomme croquer et je viens chercher votre fille comme la stipule la lettre.
L'homme dont on ne voyait pas les yeux restait d'une exquise politesse, comme s'il parlait de venir chercher son pain à la boulangerie, ou son steak chez le boucher.
Le père se redressa, attrapant la lettre qu'il gardait tout le temps dans sa poche droite de pantalon. En effet, l'auteur de la lettre s'appelait Croquer. NON! Pas sa fille, pas maintenant! Et, se souvenant qu'il avait son arme à portée de main, le père de famille s'en saisit et la pointa en direction de l'homme, pas le moins du monde intimidé.
- Monsieur, je ne vous céderai pas ma fille!
Il n'avait jamais fais ça avant, il avait toujours respecté toutes les consignes, n'avait menacé quelqu'un avec son pistolet que s'il avait été obligé. Mais il ne pouvait pas prendre le risque de perdre son enfant, le bébé qui était le sien. Il l'aimait tellement qu'il était prêt à aller jusqu'en prison pour le sauver.
- HAHAHA! Inutile de sortir l'artillerie, vous ne me toucherez pas! Donnez-la moi, ou sinon je serai dans l'obligation de vous tuer.
Son ton s'était fais dur. Il se moquait du policier. La femme, qui avait entendu des paroles menaçantes déposa l'enfant à terre et, sur la pointe des pieds, vint voir ce qui se passait, se plaçant derrière son mari.
Soudain, alors que le père de famille allait menacer à nouveau son assaillant, l'étranger releva sa cape et sauta sur sa proie. La femme hurla en voyant son amour se faire vider de son sang, des canines plantées dans le cou.
Tout cela se passa très vite, et, avant que la mère, par son hurlement, n’alerte les voisins, il lui fit subir le même sort. Il prit le temps de les vidé de leur sang, alléché par l'odeur métallique qui le faisait frémir de bonheur.
Il termina son festin un peu après deux heures du matin. Il avait été tellement absorbé par la nourriture qu'il n'avait pas vu la petite disparaître de la pièce.
Toute les pores de sa peau claire vibraient de bonheur. Le sang était si délicieux, si exquis... Il rêvait de l'instant où il poserait les griffes sur la jeune fille innocente. L'idée de tuer un être sans défense l'excitait au plus haut point.
-Mais où est-elle?! rugit-il pour lui même.
Elle n'avait pas pu partir très loin. Elle se trouvait certainement encore dans la pièce...
Ce que le buveur de sang ne savait pas en cherchant la gamine, c'était que la voisine, entendant des cris, avait accouru pour voir ce qui se passait. Elle avait fais preuve de beaucoup de sang-froid. Elle avait vu un homme qui buvait le sang de ses colocataires mais s'était mordu les lèvres jusqu'au sang pour ne pas hurler de peur. Il fallait à tout prix sauver l'enfant qui pataugeait dans une marre de sang, liquide déversé par ses parents, morts sous ses yeux.
La courageuse voisine avait pris le bébé et était partie avec. Dehors, elle avait téléphonée à la police qui ne pourrait pas venir avant un petit moment vu qu'elle habitait dans la montagne. Donc la femme, se sentant en danger, prit la voiture et partit dans un bruit de moteur assourdissant, la neige ne la freinant que très peu.
Au bout d'une petite quinzaine de minutes, la police débarqua et arrêta l'homme. Cette femme, vivait toute seule à cette époque. Après ce tragique incident, elle décida de partir et vendit sa maison pour aller s'installer chez son oncle à Manhattan. Elle ne voulait plus jamais entendre parler de cette histoire! Elle ne pu toutefois pas trouver le courage de se résoudre à quittée l'enfant. Alors, avec l'aide de son tonton qui était le seul à qui elle avait raconté ce qui c'était passée, elle l'adopta. Bizarrement, le seul membre de la famille avec qui elle entretenait encore quelques liens ne la prit pas pour une folle, heureusement d'ailleurs.
Elle n'avait que vingt ans quand elle avait décidé de partir de New York, deux ans plus tôt, en direction de l'Italie où sa grand-mère lui avait donné en héritage une grande maison. Elle en avait fait un hôtel jusqu'à ce que le drame arrive. Sa mère buvait ainsi que son père et, dès qu'elle avait pu, elle était partie de chez elle. Son oncle était le seul membre de la famille qui lui restait. Lui aussi s'était brouillé avec ses géniteurs. Il tenait un restaurant et sa nièce y travaillait tout les soirs. Il fallait qu'elle aide à payer les courses pour nourrir son enfant désormais et faire ce dont elle avait toujours rêvé, tenir un magasin avec ses propres vêtements! Elle cousait très bien et tout ce qu'elle portait, c'était elle qui les avaient fait. C'était bien pratique pour vêtir sa fille âgée de quelques mois.
Et arriva le jour où la femme, un soir de service, rencontra LA personne qui la marquerait à jamais...
Il était dix-neuf heures, le restaurant avait ouvert ces portes il y a une heure. Un homme était entré et Elle était tout de suite tombée sous son charme! L'homme, qui avait été servi par celle-ci, la trouvait exquise. A l'époque, on n'avait pas peur de donner son numéro à un parfait inconnu, il pourraient garder contact! Il se donnèrent rendez-vous et tombèrent définitivement amoureux l'un de l'autre! Ils se marièrent et élevèrent Nathalie qu'ils avaient rebaptisés Nalie au cas ou l'assassin des parents de la petite la chercherait encore! En effet, Jess lui avait quand même expliqué l'histoire. Il avait dit qu'il élèveraient le petit bout choux ensemble. Ils étaient heureux. Trois années passèrent et Nana (Nalie, c'est son surnom.) Entra à l'école. Elle y rencontra Colie et depuis elles étaient inséparables! »

Waw, j'ai eu une enfance mouvementé! Mais, je ne peux pas y penser sinon, je vais me laisser submerger pas les émotions! Je n'ai pas le droit de me laisser aller! Mais au fait, pourquoi ne suis-je pas devenue une vampire?

Euh... Alors désolée, mais je ne suis pas vraiment convaincue... Enfin je veux dire, le thème me semble un peu trop rebattu pour y faire quelque chose de nouveau. M'enfin c'est subjectif.
Bref, pour ton extrait, oui, pourquoi pas, ça intrigue un peu. Mais ton style manque beaucoup de fluidité à mon goût ; tu n'es pas toujours très claire, et tu retournes des fois en arrière pour revenir sur un point que tu n'avais pas soulevé. Bref, j'ai l'impression que tu t'emmêles un peu. As-tu une trame claire de ton histoire ?
Comme d'habitude, je te fais la leçon alors que je n'écoute pas mes propres conseils (quoique si, maintenant =) ), mais je pense qu'il faut vraiment bien définir son scénario avant de le rédiger. Quand on est clair dans sa tête, on est clair sur le papier. =)
Bref, je pense que tu manques de légèreté dans le style, tu n'a pas l'air très à l'aise des fois. Et surtout, je pense que tu t'impliques un peu trop dans ton récit. Je m'explique : ton "EH BIEN NON !", tes remarques sur la paranoïa du père ou des petites choses comme ça font un peu "too much". Ça crée un recul du lecteur, qui ne se plonge pas totalement dans l'histoire, du coup. Je pense que ce genre de "remarque" ou d'ambiance doit être implicite. Ou en tout cas plus intégré au texte. Il faut que toi, en tant que conteuse, tu sois capable de t'effacer au profit de ton histoire. Enfin à mon avis.
Ensuite, pour le reste, il y a quelques problèmes de concordance des temps, mais je suppose que vu que ta correctrice n'est pas encore passée, c'est normal. =)
Ah oui, par contre, attention à tes dialogues, aussi, ça ne paraît pas du tout naturel, très crispé.
Voilà, donc mon conseil, attention à ne pas tomber dans le stéréotype d'écriture. Essaie d'être plus légère, de laisser un peu de liberté à tes personnages, à tes mots. Je sais pas si je suis compréhensible, en tout cas j'espère.
Tout ça c'est un avis de "professionnelle", donc ne t'en vexes pas, je suis juste là pour te donner un regard critique ! =) ça veut pas dire que c'est nul non plus ! =)

Allez ! La correctrice est là ^^. Petite explication sur mon système de correction : en rouge, ce sont les fautes d'orthographes, en vert les fautes de conjugaison et en bleu, les remarques sur le style ou les tournures de phrase.

Citation :

Nalie mon héroïne a dix-sept ans.
Très gentille, elle n'a jamais eu de petit copain et avec sa meilleur amie, vit un peu à "l'intérieur » de ses livres. Brillante en tout sauf en latin, elle est appréciée de tous pour son calme et ses réflexions. Elle est du genre à
arranger tousles conflits.
Un nouvel élève arrive dans son lycée. Bien sûr elle a déjà été amoureuse mais n'a jamais ressenti ça
(à l'écrit, on dira plutôt cela) pour personne (c'est un peu paradoxale. Si elle n'a jamais ressenti ça pour personne, elle n'a jamais été amoureuse. Toutes les filles sont folles de lui et elle se dit qu'elle n'a aucune chance mais, l'inconcevable se produisit (problème de temps. Ou tu écris ton texte au présent, ou tu l'écris au passé), il l'a remarqua (même remarque). Elle se mit (idem) toutes les filles ainsi que les garçons à dos ( ils étaient amoureux d'elles mais ne se doutait de rien, ah la petite naïve...^^)(on ne met JAMAIS de smiley dans un texte écrit) Mais rien ne comptait à part sa meilleure amie Colie et Adrien.(Je crois que tu t'es trompée dans ta phrase. Tu dis « sa meilleure amie » mais, tu nous cites deux personnages dont l'un est un garçon. Donc ça serait plutôt « ses meilleurs amis », non? »)
Comme toutes les histoires classiques de vampires, son petit copain l'a tué et l'a vide(problème de temps. Ou
c'est au présent ou c'est au passé) de son sang. Mais, au lieu de mourir car contrairement au idées reçues, les vampire peuvent transformer quelqu'un en l’un des leurs mais aussi tuer tout simplement, elle se transforme et fantôme.(Je ne sais pas ce que tu as voulu dire mais la phrase est très mal faite) Ce phénomène est lié au destin fabuleux qui l'attend.
Elle n'aspire qu'à une chose, se venger d'Adrien, et l’empêcher de recommencer une nouvelle fois son crime. Mais, la prophétie la rattrape, elle va se retrouver plongée dans un univers dont elle ignore tout et découvrir la cruautés des vampires... Entre amitié, trahison, prophétie, vengeance, secrets et torture, Nalie va découvrir que tout son petit monde de livre n'est pas si irréel qu'il n'en a l'air...

Voilà. Ma première remarque c'est que ce n'est pas un résumé. On dirait que tu essayes plus d'expliquer ce que tu comptes faire dans ton histoire. Or, un résumé sert plus d'accroche que d'explication. A mon sens, toute la partie du milieu où tu racontes l'arrivée du nouvel élève et ses problèmes au lycée est inutile.

Un petit conseil qui vaut ce qu'il vaut : quand tu as fini d'écrire un chapitre, laisse le de côté pendant quelques temps. Tu n'y touches pas, tu ne le lis pas, tu n'y penses pas. Après tu verras que quand tu le reliras, tu pourras modifier certaines choses avec plus de facilité. Car le secret quand on écrit, c'est de toujours prendre du recul et d'avoir un regard objectif sur ce qu'on fait ^^. Si tu as l'intention de te faire publier, garde en tête que tu écris pour les autres ^^.

Je ferais le chapitre 1 plus tard. J'espère ne pas avoir été trop dure ^^" (il m'arrive d'être assez tranchante dans mes corrections -_-').

Merci les filles mais deux choses, Sheena, je fais ce que tu dis, je relis après quelques mois mais celui ci n'a pas été retravaillé et justement, je voulais savoir à quel point il était mauvais...
Deuxième chose, je ne compte pas publier se roman-ci, j'aime écrire le fantastique et les histoire d'amour mais je préfère écrire quelques chose sans histoire d'amour vu le peu d'expérience que j'ai la dedans. J'en fais un autre fantastique aussi mais comment dire, mieux travaillé?
Bref, je ne suis pas du tout vexée, je savais qu'il était nul mais pas à se point... -_-
Au moins vous êtes sincère et pas hypocrite.
J'hésite en fait à ne pas continuer cette histoire et me concentrer uniquement sur le roman potentiel pour être publiée.
Maintenant c'est vrai que l'orhtographe je suis forte mais sur un odrinateur, j'ai vraiment du mal à lire. -_-
je hais relire là dessus. C'est pour ça que j'imprime et que je corrige avec un stylo parce que sinon c'est extremement mal écrit.

Merci de m'avoir fais remaqurer que c'était num, soyons franc! ;)
Merci Sheena pour ta correction, c'ets super gentil! ;-)

C'est pas nul, faut pas dire ça. Un sujet même revu des tonnes de fois, s'il est bien écrit, ça passe très bien. Il faut juste faire beaucoup d'effort pour que ça sorte de l'ordinaire. Donc ne te décourage pas et essaye de t'améliorer en écrivant cette histoire. Même si tu ne la publies pas, ça sera toujours un moyen de t'améliorer ^^.

Oui merci!
Mais je pense que je vais la laisser de coté pour l'instant.
Si c'ets nul, vooyons la vérité en face, il faut VRAIMENT que je recommence ce passage.
En fait cette histoire en général est nule, je n'ai jamais su lui donner une bonne ambiance même quand j'ai cherché. Quand j'aurais plus d'expérience je l'a recommencerai je pense.
En attendant, est-il possible de supprimer se sujet ou pas vu qu'à mon avis je ne vais plus beaucoup publier dessus...

Ok, d'accord, si tu veux ^^. Est-ce que tu voudras que je jette un oeil, sur ton prochain projet ?

Oui ce serait VRAIMENT super gentil!
Merci beaucoup! Ca pourrait m'aider, vraiment.
merci Sheena Sama!
Je sais ja sais, je t'ai appelé Sama.